1 mai
Mercredi 1 mai JOURNEE DE LUTTE
Partout, la même politique d’austérité et la restriction des droits démocratiques est imposée aux salariés et aux populations. Elles aggravent la crise, plongent les peuples dans la misère et provoquent la récession notamment dans toute la zone euro.
Pour sortir de la crise, partageons les richesses !
- Augmentons d’abord les salaires. En France, le salaire minimum d’embauche d’un jeune sans diplôme doit être porté à 1700 euros. C’est à partir de ce salaire minimum que nous reconstruirons partout des grilles salariales. Ce sont les salaires qui alimentent les caisses de la protection sociale pour la santé, la retraite, l’assurance chômage.
- Développons l’emploi. Nous refusons la mise en concurrence des sites, des salariés entre eux dans les différents pays. Tous les travailleurs et les entreprises en souffrent !
Les banques, les financiers doivent être contraints de diriger l’argent vers l’investissement productif créateur d’emploi. Nous exigeons des mesures immédiates pour arrêter de brader nos outils de production mais au contraire pour développer notre appareil productif, les services publics et permettre une reconquête industrielle.
Des filières entières sont à recréer ou à créer, des centaines de milliers d’emplois sont en jeu.
- Protégeons les salariés des aléas de la vie professionnelle et sociale. Notre syndicalisme a été créateur de la sécurité sociale, de nos retraites par répartition, de l’assurance maladie, des allocations familiales, de l’assurance chômage. Non seulement nous les défendons mais nous proposons de les étendre.
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