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Pour nos salaires, nos postes, nos conditions de travail, l'éducation nationale en grève le 1er février

Lutte contre les violences faites aux femmes : la CGT à l’offensive !

La semaine du 25 novembre, la CGT appelle les salarié·e·s à se mobiliser sur leurs lieux de travail pour interpeller les employeurs en exigeant la mise en place immédiate de mesures contre les violences (plan d’action, renforcement des moyens des référent·e·s harcèlement sexuel, etc.). Cette journée sera aussi l’occasion de continuer le travail de sensibilisation auprès des salarié·e·s.
La CGT Isère appelle ainsi à participer à la manifestation organisée à Grenoble (l'horaire et le lieu seront communiqués prochainement).

Pour nos salaires, l'égalité femme/homme: toustes en grève le 13 octobre !

Le ministère de l'Education national a confirmé sa volonté de ne conditionner des augmentations de revenu à une augmentation des tâches. Les différents versants de la Fonction publique ont vu leurs situations se dégrader ces dernières années. Vendredi 13 octobre, mobilisons nous avec les différentes fonctions publiques et les secteurs privés.

Plutôt que de jouer à l'euromillion le 13 octobre, rejoignez l'Eurogrève et l'Euromanif ! 100% des personnes qui grèvent ont plus de chance d'obtenir de meilleurs conditions de travail et de meilleurs salaires !

Marche unitaire contre les violences policières, le racisme systémique et pour les libertés publiques ! Manifestation samedi 23 septembre à 14h à (départ à Victor Hugo)

Le 27 juin, le jeune Nahel était tué par la police. Il était la 15e victime d’un tir mortel pour « refus d’obtempérer » depuis le 1er janvier 2022 quand on en compte seulement un en Allemagne en dix ans. Cette exécution a entrainé plusieurs nuits de révoltes urbaines et un déploiement de forces sans précédent avec 45000 policiers et gendarmes, l’utilisation du RAID, du GIGN, d’engins blindés, de drones…
La répression a été féroce avec près de 4000 interpellations (dont plus de 1000 mineurs), deux décès et des mutilations irréversibles suite à des tirs de LBD. Macron a obtenu ce qu’il avait érigé en priorité absolue, « le rétablissement d’un ordre durable ». Mais à quel prix…
Le meurtre de Nahel a, une nouvelle fois, mis la lumière sur des violences policières injustifiables et un racisme systémique qui touche fortement les forces de l’ordre. Une situation encouragée par les déclarations factieuses de certains syndicats de police et une culture de l’impunité pour les auteurs de violences policières entretenue par l’institution (Le ministre de l’Intérieur, le préfet de Police, le Directeur Général de la Police) et qui remet gravement en cause l’État de droit.
Obsédé par le maintien d’un système inégalitaire qui profite aux ultras-riches et précarise la grande majorité de la population, le pouvoir emploie des méthodes autoritaires pour briser toute contestation. Les entraves aux libertés publiques se multiplient et sont significatives de cette dégradation, avec des interdictions de manifestations,
une doctrine du maintien de l’ordre dénoncée par de grandes institutions internationales, des tentatives de dissolution d’associations…
Les libertés syndicales sont durement bafouées avec une criminalisation toujours plus forte des actions -en particulier celles de la CGT - et qui s’accélère depuis le passage en force de la réforme des retraites. La convocation par les gendarmes de Sébastien Menesplier membre de la direction nationale de la CGT, ou la mise en examen de David Bodin, secrétaire de l’Union
Départementale CGT des Deux-Sèvres, montrent qu’une ligne rouge a été franchie. 
Les dégradations de services publics, de commerces, particulièrement dans les quartiers populaires, commises à la suite du décès de Nahel, ont détérioré encore davantage les conditions de vie et de travail. La CGT alerte depuis plusieurs années sur les ravages des politiques d’austérité et de précarisation. 
Dans un contexte de forte inflation et de recul du pouvoir d’achat, Macron poursuit une politique régressive qui fait le lit de l’extrême droite, aggrave les inégalités sociales et piétine notre modèle social en stigmatisant les plus faibles avec des réformes destructrices (accès réduit aux prestations sociales, à l’assurance chômage).
La CGT exige des réponses immédiates et dans l’urgence :
• Abrogation de la loi de 2017 sur l’assouplissement des règles en matière d’usage des armes à feu par les forces de l’ordre ;
• Une réforme en profondeur de la police, de ses techniques d’intervention et de son armement ;
• Le remplacement de l’IGPN par un organisme indépendant de la hiérarchie policière et du pouvoir politique ;
• La création d’un service dédié aux discriminations touchant la jeunesse au sein de l’autorité administrative présidée par le Défenseur des droits et le renforcement des moyens de lutte contre le racisme, y compris dans la police ;
• Un plan d’investissement public ambitieux dans les quartiers populaires et sur l’ensemble du territoire pour rétablir les services publics, le financement des associations et des centres sociaux ;
• Le respect des libertés syndicales, du droit de grève, du droit de manifester et de la liberté d’expression.

L'Intersyndicale de l'académie de Grenoble toujours contre la réforme de la voie professionnelle

Non au SNU et à la militarisation de la jeunesse !

Bien que le gouvernement ait retiré le caractère obligatoire du SNU pour l’instant et face à la mobilisation de la jeunesse contre la réforme des retraites, il restera toujours ce stage n’est ni plus ni moins qu’une mise au pas de la jeunesse. Une fois de plus, ce gouvernement avance son plan réactionnaire pour la jeunesse.

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